DOSSIER DE PRESSE

 1981 – Tour de chant consacré à Léo Ferré et aux poètes mis en musique par ce dernier:

« Il est en règle avec la grande chanson, celle qui s’adresse à l’esprit, celle qui manipule les plus profondes émotions »      Jacques Samson, Le Soleil, 1981

1982 – Spectacle La der des der (chanson-théâtre consacrée aux chanteuses réalistes des années trente):

 « Il s’est travesti  pour transmettre la vérité pathétique de ces interprètes oubliées qui ont dit d’une façon universelle l’amour, la tendresse, la folie, la mort. » Le Journal de Québec, 1982.

 

« Elle arrive, sombre et effilée, du fond de la salle. Avec cette tête de femme qui a vécu. Et qui traîne la déchirure dans le sillage du regard. Portée par la rumeur de la salle, elle prend pied sur la scène. Et avec elle, une époque. Soudain, la voix grave et sensuelle émerge, nostalgique, comme un écho à la douleur du regard […] Elle, c’est lui. Et lui, c’est Bernard Cimon. Il faut le voir pour le croire. En femme. Et quelle femme ! Avec un tour de chant qui intègre plus que jamais l’impact dramatique du théâtre. […] Je sais, je sais… il faut se méfier des superlatifs. Le très est si proche du trop. Et pourtant, quand je suis sorti du spectacle de Bernard Cimon, je superlativais […] Cimon nous propose un être chargé d’émotions. Traversé par un mélange nuancé de tendresse, d’humour, de nostalgie et de cynisme. Avec un choix de pièces cohérent, qui témoigne d’une grande connaissance de la chanson française. Et d’un grand respect. Les arrangements sont signés par Bruno Fecteau, qui accompagne au piano. Au violon alto, Lucie Brosseau. Robert Lepage a assuré la mise en scène. Yvan Gaudin (grand coup de chapeau!) a réalisé le maquillage… presque invraisemblable. Autant de contributions importantes à l’atmosphère générale  du spectacle. Et au plaisir qu’on en tire.» Pierre Boulet, Le Soleil, 10 mars 1982.

1983 – Vian, Mouloudji, Gainsbourg, Prévert, Caussimon et Bruant:

« Cimon, c’est le prolongement d’une époque, la bohème réinventée […] Rigoureux, exigeant, partisan de la ligne dure, [il] choisit de chanter seulement ce qui lui colle à la conscience comme à la peau. » Marie Lévesque, La Tournée, 1983.

1984 – Spectacle donné à Venise, Al Paradiso Perduto:

 […] crediamo di essere capitati in una serata di grazia, allietati dal glamour di uno chansonnier che ci ha catapultati nella Francia degli anni Trenta. Veramente bravo. Marco Polo consiglia, Venezia, 1984. [ « nous croyons être tombé ce soir-là sur un moment de grâce, avec le glamour d’un chansonnier qui nous a catapulté dans la France des années trente. Vraiment excellent. » Traduction libre]

1988 – Festival d’été de Québec:

« Ferré, Gainsbourg, Baudelaire, Mallarmé, Verlaine. Depuis douze ans, Bernard Cimon leur est resté fidèle […] Des mots tendres, une voix chaude, veloutée, la poésie dans le geste et le regard, de l’humour aussi, et les belles notes du piano de Bruno Fecteau, le complice des sept dernières années. » François Bourque, Journal de Québec, juillet 1988.

 

 «C’est un rayonnant Bernard Cimon qui, sur la Terrasse Dufferin, nous a offert un 14 juillet hors du commun. Un musicien hors de tout doute, une voix envoûtante mais surtout un répertoire choisi, dont il est imprégné jusqu’à l’âme et dont il rend toutes les particularités. Aux moins jeunes des souvenirs doux, douces passions et secrets; aux jeunes, de la gaîté sans souci. La foule exaltée réclamait le prince du bal musette à Québec, mystérieux par sa jeunesse sans âge, l’histoire de la chanson à ses pieds. Sphinx non pas de l’énigme et de la raison, mais de l’épanouissement spontané». Laurence Trépanier, Le Soleil, page des lecteurs, juillet 1988.

1993-1999 – Tournées en France:

« Il séduit par la simplicité même, par ses chansons d’une grande qualité, par son interprétation accompagnée de belle façon à l’accordéon .» Jacques Roussel, Radio Fréquence, Paris Plurielle, 1996.

 

« Il jouit d’une voix fabuleuse qui emporte l’adhésion.» Pantchenko, Chorus no 26, mars 1999.

1995 – Musique pour la pièce Les Hauts de Hurlevent:

 « Le vent de l’œuvre rugit par l’accordéon de Bernard Cimon, qui exprime avec sensibilité la tourmente des coeurs. Rythmes obstinés, chaloupés et sensuels; une musique libre et enjoleuse. » Jean St-Hilaire, Le Soleil, 1995.

1997- Sortie du premier album d’auteur Chansons du temps qui passe:

 « À l’exception d’un texte de Baudelaire, il n’y a mis que ses propres chansons. Grand bien nous fasse car on découvre, au-delà de l’interprète de talent à la voix puissante et bien timbrée, un auteur solide, aux textes à saveur tantôt nostalgique, tantôt philosophique, tantôt purement poétique, où l’on reconnaît l’influence des « grands »… De vraies chansons qui se tiennent debout toutes seules, avec des mots qui veulent dire quelque chose…Pour les amants de la chanson française dite classique, ce disque pourrait bien devenir un…classique! » Denis Jodoin, Le Clap, Québec, 1998

 

 « L’accordéon en bandoulière, la verve aiguisée à l’ancienne, la mélodie volontairement obsolète, Bernard Cimon travaille la chanson en orfèvre. Pour lui, pas question de sacrifier aux modes et aux exigences des palmarès.» Tristan Malavoy-Racine, « Chansons pour durer toujours », Voir, 11 mars 1999.

2001- Sortie du second album d’auteur Nouvelles chansons démodées:

« Avec ses vingt-cinq ans de métier, Bernard Cimon ne sait faire que de grandes chansons. » Jacques Samson, Le Soleil, 12 mai 2001

2001 – Tour de chant consacré à Charles Trenet, La route enchantée:

« Qui mieux que Bernard Cimon peut entrer dans la peau d’un grand personnage de la chanson, l’habiter et livrer l’essence même de son émotion, sa sensibilité, sa poésie ? » Jacques Samson, Le Soleil, 20 septembre 2001.

2004 – Spectacle donné à l’Université McMaster, Hamilton, Ontario:

« Cimon a brillamment interprété les plus belles chansons de Gainsbourg, Ferré, Ferrari, Piaf, Brel, Trenet et d’une pléiade d’autres artistes. Transporté, l’auditoire s’est même levé pour valser. Cimon maîtrise son répertoire et l’interprète intensément, avec conviction. C’est un professionnel accompli qui tire visiblement de la pratique de son art un immense plaisir. » Marie-Christine Clément, « Bernard Cimon charme Hamilton », FrancoPresse.ca. Actualités francophones canadiennes, 10 novembre 2004.

2006 – Spectacle donné à L’Intendant, Québec:

« Il envoûte littéralement celui qui l’écoute. […] Quoi de mieux que de vivre avec lui sa passion pour l’accordéon, le piano et les mots. Ces mots qu’il nous livre avec une si grande profondeur.» Line Turcotte, Québec Info Musique, 2006.

2014 – Festival Léo-Ferré, Gourdon, France:

 « Bernard Cimon, chanteur, au piano et à l’accordéon, bouleversant, pétri de générosité nous a déroulé le tapis rouge, nous invitant à vibrer avec lui sur les plus inoubliables textes de Léo Ferré.  » Les forains « ,  » Les amoureux du Havre », mais aussi  » Jolie môme  » ou  » On s’aimera « . Un pur moment de retrouvailles tendres et inspirées ». La Dépêche du Midi, 22 juillet 2014